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SOCIAL

Pour les
salaires, les services publics, l’abrogation de la loi retraites : Le
1er octobre en grève et en manifestation pour nos droits !

Dans le Var :

  • 10h30 Toulon place de la Liberté
  • 10h30 Draguignan sous-préfecture
  • 10h00 Nice Place Masséna

Nos organisations syndicales et de jeunesse appellent à manifester et à faire grève pour qu’enfin les urgences sociales, exprimées dans les mobilisations comme dans les urnes, soient entendues !

Retraites, salaires, services publics, c’est sur ces sujets centraux pour la population que nous pouvons gagner et arracher des victoires au moment où le président de la République et l’alliance jusqu’à l’extrême droite cherchent à imposer contre la volonté générale le maintien du cap libéral et autoritaire.  

Nous avons été des millions à nous mobiliser pendant plus de 6 mois contre la retraite à 64 ans. Emmanuel Macron a décidé de passer en force mais a été sanctionné par une lourde défaite aux élections législatives. Nous pouvons donc maintenant gagner l’abrogation de la réforme des retraites !

Nos salaires, pensions, bourses et minima sociaux ne peuvent plus régresser face à l’inflation ! C’est la raison pour laquelle nous rejoignons l’appel des organisations de retraité·es ce même 1er octobre pour exiger l’augmentation des pensions et des salaires, un Smic à 2000 euros et l’indexation des salaires sur l’inflation. Partout, dans les entreprises et les administrations, faisons grève pour obtenir l’augmentation de nos salaires et la fin des inégalités entre les femmes et les hommes !

Nos services publics sont à bout de souffle. Exigeons les moyens financiers et humains pour l’hôpital, les soins, l’éducation, l’enseignement supérieur, la recherche, l’environnement… pour permettre l’accès de tous et toutes à des services publics de qualité.

Les licenciements se multiplient dans l’industrie car les grands groupes continuent à délocaliser. Pourtant, les dividendes atteignent des records et, chaque année, 170 milliards d’euros d’aides publiques sont distribués sans contrepartie aux entreprises. Mobilisons-nous pour gagner l’arrêt immédiat de tous les licenciements, la relocalisation et la transformation environnementale de notre industrie !

Les jeunes sont parmi les premier·es à subir ces politiques de casse sociale. Il est urgent de mettre la jeunesse en protection sociale, de réformer le système des bourses et d’abolir la sélection à l’entrée de l’université.

Le 1er octobre marque le début des discussions sur le budget de l’État et de la Sécurité sociale à l’Assemblée nationale. C’est le moment de gagner qu’enfin les plus riches et les multinationales soient taxés pour financer nos services publics, la justice sociale et environnementale. C’est le moment de gagner l’abrogation de la réforme des retraites !

C’est maintenant qu’il faut peser et gagner. Ce ne sera possible que par un rapport de force clair et massif. Toutes et tous en grève le 1er octobre.

Communiqué de presse intersyndical, le 12 septembre 2024

Animé par Bruno Cremonesi, Alain De Carlo et Andjelko Svrdlin, ce webinaire abordera, entre autres :

  • Les axes principaux du choc des savoirs ;
  • Les arguments pour le combattre ;
  • La position du SNEP, de la FSU et de l’intersyndicale ;
  • Les modalités pour agir dans les CA de fin d’année ;
  • Un temps sera réservé pour répondre aux questions.
  • pour l’abandon des mesures « choc des savoirs ».
  • pour exiger une revalorisation salariale sans contreparties.
  • pour des moyens pour l’École publique.

« Choc des savoirs » (groupes, classes prépa 2de), réforme du lycée, Parcoursup….Le modèle d’École du gouvernement du collège au lycée, vise à faire sortir de l’École publique, le plus tôt possible et à chaque étape de leur scolarité, les élèves des classes populaires. En érigeant aussi l’uniforme et le SNU au rang de priorités politiques et budgétaires, le gouvernement fait un choix clair : celui d’une École du tri social, d’une École passéiste et conservatrice. Ces choix placent l’École publique à un point de bascule : elle est au bord de l’effondrement (manque de moyens, personnels sous payés) et tourne le dos à l’ambition de faire réussir tous les élèves.

     Ne nous y résignons pas ! En trois mois, nous avons mené avec force et détermination la bataille des idées sur les groupes de niveau, rassemblant une partie de la profession et des parents d’élèves dans la mobilisation. Nous avons mis en avant l’état de délabrement du système éducatif : manque de personnels, classe surchargées, crise du recrutement etc. Amplifions la mobilisation pour gagner, pour nos salaires, nos métiers et l’École publique, laïque, émancipatrice et inclusive !

–> LIRE LE COMMUNIQUE DE PRESSE

  • Dans le 06 :
    Nice : 14h Gare Thiers
  • Dans le 83 :
    Draguignan : 10h30 Sous-Préfecture
    Toulon : 10h30 Place de la Liberté

Toi aussi tu veux monter à Paris!    
Le SNEP mobilise des fonds syndicaux pour que les collègues de l’académie Nice soient représentés à Paris.     Afin que nous soyons un maximum à monter, nous avons pré-réservé des places dans un TGV départ de Aix TGV le 15 mars vers 9h et un retour à 20h12.    Les places étant limitées Clique ici pour te porter volontaire dans les conditions expliquées en dessous. Nous lançons une campagne de sur-cotisation qui a pour fonction de financer une partie des transports. 

snep
76 rue des rondeaux, 75020, Paris


Le snep a lancé une campagne de promotion de l’EPS pour obtenir un réel héritage des JOP de Paris !     Pour une jeunesse plus sportive, 4h d’EPS de la maternelle à l’université, a été le fer de lance de nos revendications mais vous l’avez compris, c’est bien un champ de revendications que nous portons.     Un autre projet d’école, en passant par des effectifs en classe moins chargés, des installations sportives adaptées rénovées et bien entendu développées, une augmentation pluri-annuelle des postes au CAPEPS, la réécriture des programmes avec des repères de progression supports à notre enseignement sont une partie des urgences…      Si nous partageons des problématiques communes à tous les enseignants, la question de l’éducation physique a toujours avancé, portée par la seule profession armée de son SNEP !      Il y a 30 ans nous arrachions la 4ème heure d’EPS en 6ème au gouvernement Balladur avec notre campagne « donnons du corps à nos études », il est grand temps que notre pays se donne les moyens d’une jeunesse plus sportive comme l’affirme M. Macron ou que l’EPS soit à l’honneur comme l’affirme M. Attal en généralisant les 4h d’EPS ! Alors tous en grève le 15 mars et un maximum de monde et de bruit à Paris !      Toi aussi tu veux monter à Paris clique ici !     

10h30

Cette journée d’action dans laquelle nous appelons l’ensemble des collègues à se mobiliser sera l’occasion de dénoncer le cruel manque de moyens de l’école publique. Les orientations budgétaires du gouvernement, au travers du Projet de Loi de Finances 2024, entérinent de nouvelles suppressions de postes, qui s’ajoutent aux précédentes. Ces choix sont contraires aux besoins nécessaires pour un service public d’éducation de qualité qui permette la réussite de tous les jeunes et ils aggravent nos conditions de travail (effectifs par classe notamment). Les DHG qui arrivent dans les établissements, associées aux perspectives des réformes envisagées (terminale voie pro, groupe de niveaux en collège…) ne sont pas à la hauteur des besoins et marqueront de nouvelles dégradations, tant pour les élèves que les personnels. La campagne DHG 2024 appelle à une mobilisation sans précédent dans les établissements, dans les CA avec les parents d’élèves. Nous vous invitons à vous saisir du « kit DHG » pour mener cette bataille essentielle.

Ce mardi 12 décembre 2023 toutes et tous en grève et dans l’action à Marseille à 10h30 porte d’Aix vers la préfecture !!

A l’initiative du SNUEP-FSU l’intersyndicale voie pro de l’académie de Nice s’est réunie et a décidé, suite à l’appel national à la grève, d’une manifestation commune avec l’intersyndicale de l’académie d’Aix-Marseille. Cette grève et ses manifestations font suite aux annonces gouvernementales sur le projet de réforme des grilles de bac pro.
Ce projet aura pour conséquence de donner encore moins d’école aux enfants les plus fragiles scolairement et socialement, et de dégrader les conditions de travail des élèves et personnels.
Pour la FSU et l’intersyndicale ce projet, qui sera présenté en Conseil Supérieur de l’éducation du 14 décembre, est inacceptable. La mobilisation de toutes et de tous est indispensable pour arrêter ce démantèlement organisé de la voie pro.

tract intersyndical à sortir et à distribuer dans les casiers des personnels des EPLE, mais aussi devant les établissements (en dehors) aux élèves et parents d’élèves pour les informer de ce projet néfaste et réactionnaire qui va fortement les impacter.

RASSEMBLEMENT HOMMAGE
LUNDI 16 0CTOBRE 

 Nous sommes dans l’effroi et la sidération.

A nouveau un collègue, Dominique Bernard, a succombé sous les coups d’un obscurantisme sordide.

Nous appelons tous les personnels à se rassembler lundi 16 octobre pour un moment d’hommage et de recueillement dans la plus grande sobriété

  • à partir de 17h30, place Garibaldi à Nice
  • à 18h place de la Liberté à Toulon
  • à 18h devant la sous-préfecture à Draguignan

Vendredi 13 octobre : La fonction publique mobilisée contre l’austérité, pour les salaires et l’égalité professionnelle femmes-hommes

Communiqué de presse–> ici

Les organisations syndicales de la fonction publique appellent tous les personnels à rejoindre les manifestations du 13 octobre qui seront organisées sur l’ensemble du territoire dans le cadre de la première mobilisation syndicale européenne contre l’austérité, pour les salaires et l’égalité professionnelle femmes-hommes, et réaffirmer notre opposition à la réforme 2023 des retraites.

Dans le 06 :
NICE – 10h00, Place Masséna

Dans le 83 :
TOULON – 10h30, Place de la Liberté
DRAGUIGNAN – 10h30, Sous-Préfecture

MOBILISATION DE FOU le 28 mars

 
NICE, 10 H de la Gare Thiers jusqu’au Port
LE CANNET, 14 H devant la Mairie

TOULON, 10 H 30 place de la liberté,
DRAGUIGNAN, 10 H 30 Sous-Préfecture,
BRIGNOLES, 15 H 30 BERGES du Caramy

La réponse à l’intervention de MACRON fut limpide et cinglante dans notre académie aussi…
Organisons nous pour maintenir la pression le Mardi 28 Mars

 
On pourra pas reprocher à E. MACRON d’avoir un discours unificateur. Les multiples cortèges ont fait le plein…d’essence, si l’on peut se désoler des débordements, on ne peut malheureusement ne pas s’en étonner. 
     A l’ordre républicain, la démocratie sociale a parlé fort, ce jeudi! Une fois n’est pas coutume le Snep Nice vous propose une petite galerie de photos pour illustrer le rapport de force qui continue de s’installer. Car bien sûr Macron nous aime dans la rue, alors organisons nous pour durer!
    Plus que jamais la rue doit être occupée par vagues successives et tournantes. Le non-service des uns doit être le temps de mobilisation pour les autres!
       Mardi 28 mars le prochain appel de l’intersyndicale.
     Le SNEP FSU de Nice vous appelle à en faire une nouvelle journée de réussite, car travailler plus pour gagner moins n’est pas acceptable quand le CAC 40 bat des records! D’autres choix sont possibles. 
      Colas MOUTON S3-nice@snepfsu.net
 

PLUS QUE JAMAIS JEUDI 23 MARS DANS LA RUE

Toulon—->10h place de la liberté
Draguignan—-> 10h30 sous-prefecture
Brignoles–> berge du CARAMY
Fréjus–> communication mardi

Nice–>10H DEVANT LE CADAM

La motion de censure a été rejetée aujourd’hui par l’Assemblée nationale à 9 voix près, c’est le résultat de la mobilisation de millions de travailleuses et travailleurs, jeunes et retraité-es depuis plus de deux mois. Et il ne signifie pas que le président et la majorité aient gagné, rien n’est joué. D’abord parce que la loi doit passer le conseil constitutionnel puis être promulguée, la FSU mettra en œuvre, dans le cadre de l’intersyndicale, tous moyens juridiques pour y faire obstacle et nous appelons solennellement le Président à ne pas continuer à bloquer le pays par son entêtement et donc à ne pas promulguer la loi.

Depuis plus de deux mois, la contestation contre la réforme des retraites s’amplifie, la FSU appelle à continuer cette lutte par la participation la plus massive possible aux actions décidées et en particulier aux rassemblements intersyndicaux et à préparer une journée de grève et de manifestations puissante jeudi 23 mars. Le mouvement social est plus légitime que jamais à contester une loi passée en force, sans majorité à l’Assemblée nationale et malgré la très vive opposition qu’elle rencontre dans la population.

Communiqué FSU

COMMUNIQUE DE PRESSE INTERSYNDICALE–> ici

Mobilisations varoises samedi 11 mars et mercredi 15 mars !

L’intersyndicale appelle à une nouvelle mobilisation interprofessionnelle ce samedi 11 mars puis dès la semaine
prochaine, à une journée de manifestations et de grève, le mercredi 15 mars, jour de la commission mixte paritaire
(Assemblée Nationale et Sénat), moment important du calendrier parlementaire.
Elle appelle toute la population à continuer la mobilisation et les actions, encore plus massivement pour dire non à cette réforme injuste et brutale.

MANIFESTATIONS ACADEMIE DE NICE

SAMEDI 11 MARS

  • 10H GARE NICE VILLE

  • TOULON – 10H30, Place de la Liberté
  • DRAGUIGNAN – 10H30, Sous-Préfecture,
  • BRIGNOLES – 10H30, Place Caramy

Mercredi 15 mars 2023

  • 10H PLACE MASSÉNA NICE

  • TOULON – 13H30, Rond-point de l’Université à La Garde

  • DRAGUIGNAN – Modalités en cours

  • BRIGNOLES – 18H30, Place Caramy

 

 

Face à la surdité du gouvernement : le 7 mars mettons la France à l’arrêt !

Malgré une large opposition de la population au projet de réforme des retraites, des mobilisations d’ampleur, le gouvernement entend poursuivre coûte que coûte son projet injuste et brutal. 

Face à l’apparente inflexibilité du pouvoir, il nous faut passer un cran supplémentaire dans le rapport de force. C’est pourquoi, l’intersyndicale, plus unie que jamais, appelle à mettre la France à l’arrêt le 7 mars. Ainsi dans nos secteurs, quel que soit notre lieu d’exercice, nous devons collectivement contribuer à cet objectif. 

Dès le lendemain, 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, les salarié.es sont également appelé.es à prendre part à la grève féministe qui aura comme objet principal le rejet de la réforme prévue qui impactera encore plus les femmes. 

Le 9 mars sera la journée de mobilisation de la jeunesse contre cette même réforme.

La poursuite de la mobilisation en cette rentrée de vacances d’hiver doit marquer le paysage et franchir un nouveau cap au moment où le projet de réforme est discuté au Sénat. 

D’ores et déjà l’intersyndicale projette d’amplifier le mouvement social, des secteurs annoncent un durcissement de la mobilisation en ayant recours à la reconduction de la grève comme à la SNCF, la RATP, chez les gaziers et électriciens, les raffineurs…Dans ce contexte et face à un gouvernement fébrile et en grande difficulté pour défendre et justifier sa réforme, il faut appuyer sur l’accélérateur afin de transformer la colère qui gronde en véritable raz de marée pour obtenir son retrait. Les HIS et AG là où elles sont possibles doivent mettre en débat toutes les perspectives pour amplifier la mobilisation (reconduction, examens…).

La victoire est possible, quoi qu’ils en laissent penser, car nous sommes unis et mobilisés alors que les promoteurs de la réforme sont de plus en plus seuls !

Retrouvez ici l’ensemble du matériel réalisé par le SNEP-FSU sur les retraites. 

mardi 7 février et le samedi 11 février On montre que « ce n’est pas négociable » !

MARDI 7 FÉVRIER :

  • Draguignan 10h30 Sous-Préfeture
  • Toulon 13h30 Place de la Liberté
  • Brignoles 18h Place du Caramy (descente aux flambeaux)
  • NICE: Théâtre de Verdure 10h00

SAMEDI 11 FÉVRIER :

  • Toulon 10h30 Place de la Liberté
  • Brignoles 15h30 Lycée Raynouard
  • Draguignan en cours d’élaboration
  • NICE: Place Garibaldi 11h

Après la journée du 19 janvier, la grève et les mobilisations contre le projet de réforme des retraites du 31 janvier ont été une formidable réussite. Plus de deux millions et demi de personnes se sont engagés pour exprimer leur refus d’une réforme injuste, injustifiée et qui nous obligerait à travailler jusqu’à 64 ans et plus pour enfin accéder à la retraite mais avec un taux de remplacement réduit. Cette réforme idéologique doit être combattue et repoussée avec la plus grande fermeté et ce d’autant plus qu’une nouvelle fois nos conditions de travail vont se dégrader dans la perspective de la préparation de rentrée et que le rêve qu’on nous a vendu d’une « revalorisation » historique n’aura pas lieu…

Au fur et à mesure de l’expression du gouvernement qui nous distille ses éléments de langage à longueur d’antenne, l’ineptie de la réforme se fait jour et la contestation s’amplifie. Elle touche maintenant l’ensemble des secteurs et des couches sociales. 

L’intersyndicale interprofessionnelle réunie le 31 janvier a fait le constat de la nécessité d’amplifier encore le mouvement tout en étant consciente de l’impact des jours de grève dans un contexte inflationniste. Deux dates sont dorénavant au calendrier de lutte : nouvelle journée de grève et de manifestations le mardi 7 février et manifestations le samedi 11 février pour agréger le plus de monde possible. Ces deux moments de mobilisation doivent être massifs pour obliger au retrait du projet de réforme. 

Nous sommes devant un choix de société où notre avenir et celui de nos enfants se jouent. Se battre maintenant pour le futur est essentiel, alors retrouvons-nous les 7 et 11 février prochain pour exprimer notre refus et notre mécontentement mais aussi notre volonté d’ouvrir des perspectives pour de meilleures retraites, plus justes.

Par ailleurs et pour couvrir l’ensemble des enseignants qui, dans le cadre de la réforme des retraites et/ou dans celui des préparations de rentrée, jugeraient nécessaire de se mobiliser fortement en dehors de la date du 7 février, le SNEP-FSU dépose toutes les semaines des préavis de grève.

Toutes et tous mobilisé∙es pour que le gouvernement revienne à la raison et retire son projet de loi !

Le secrétariat national

LIRE–> le communiqué de l’intersyndicale

Le 31, se mobiliser encore plus fortement, aller manifester pour gagner

VAR:
TOULON : 10H00, PLACE DE LA LIBERTE
DRAGUIGNAN : 10H00, SOUS-PREFECTURE
BRIGNOLES : 15H30, LYCEE RAYNOUARD

AM:
NICE: 10h00 PLACE MASSENA

lire–>  le dossier complet retraite SNEP FSU

La réussite du 19 janvier ne peut que nous inciter à amplifier le mouvement et à être plus nombreux à manifester partout en France le 31 janvier face à un gouvernement qui persiste dans sa volonté de passer vite cette « réforme » des retraites. Ce projet renforcera les inégalités au détriment des classes moyennes et défavorisées mais aussi au détriment des femmes. Plus il y a d’analyses de cette réforme, moins la population est dupe des objectifs recherchés et des éléments de langage servis.

Les différents ministres et élu-es pro réforme enchaînent les provocations et les dérapages sur le blocage du pays par une minorité. Ils oublient vite que plus de 70% de la population est contre la réforme des retraites et que la pétition a recueilli 760 000 signatures à ce jour et continue à progresser. La dernière sortie de la ministre du tourisme sur l’appel à la grève lancé par les syndicats des remontées mécaniques « J’appelle au respect des vacances des touristes… » a du mal à passer. Ce sont toutes les dernières réformes faites au détriment des salariés, des fonctionnaires, des chomeurs qui aboutissent à la colère de la population.

Lorsque sur les salaires le ministère de l’Education nationale annonce finalement une augmentation de 10% en moyenne pour le plus grand nombre, qui comprend les 3,5% d’augmentation de la valeur du point et les primes Grenelle, les personnels de l’éducation ont le droit de se révolter, car c’est le travailler plus pour gagner plus que le ministère veut nous faire accepter à travers le pacte. Affirmer que c’est un effort considérable et qu’il ne peut pas être fait plus alors que parallèlement il est annoncé un budget des armées en importante augmentation, un tiers de plus que la période précédente (435 milliards) …cela tombe bien mal et en dit long sur les choix politiques opérés. 

Les alternatives existent : chaque année ce sont plus de 340 milliards d’euros qui sont reversés aux actionnaires, le CICE coûte à lui seul 20 milliards en cotisations, les aides publiques aux entreprises se montent à plus de 150 milliards d’euros, les 500 familles les plus riches détiennent 1000 milliards …et on ne pourrait pas dégager 12 milliards à terme correspondant à un supposé déficit en 2027 ?

Tou.tes en grève et en manifestation le 31 janvier pour dire non à ce projet de réforme des retraites !

Signer et Faire signer la pétition pour atteindre plus d’1 million d’expressions c’est possible !

Nous vous invitons, si ce n’est déjà fait, à signer et partager largement la pétition contre la réforme des retraites et qui a déjà recueilli plus de 770 000 signatures

SIGNEZ LA PÉTITION INTERSYNDICALE–>ici

Réforme de la retraite:
tous dans la rue le jeudi 19 janvier

* Dans le 06 : NICE: 10h00 PLACE MASSENA
*Dans le VAR:
-TOULON : 10 H 30, PLACE DE LA LIBERTE
-DRAGUIGNAN : 10 H 30, SOUS-PREFECTURE

Le mois de janvier devrait voir aussi la lutte contre la réforme de la retraite.
Après avoir fait reculé le gouvernement sur la réforme systémique en 2020 (qui aurait été terrible pour le monde de l’éducation), le gouvernement continue son démantèlement des solidarités nationales, en repoussant une énième fois l’age du départ à la retraite (64 ans) et allonge à 43 annuités une carrière complète. Parer, manipuler nos élèves, le matériel pédagogique, gérer des groupes de plus en plus lourds, nos réalités professionnelles semblent totalement absentes dans les propositions de ce gouvernement. Malgré l’unité syndicale, (même la cfdt…) contre le recul de l’âge de départ à la retraite, le gouvernement veut passer en force !
Seule une mobilisation massive peut permettre une amélioration des retraites pour tous !

Communiqué intersyndical—> ici

SIGNEZ LA PETITION INTERSYNDICALE–>ici

 

le 18 octobre: L.P et droit de grève

Le 18 octobre, la FSU appelle à la mobilisation, notamment par la grève, contre une réforme qui va avoir des lourdes conséquences pour les élèves et collègues des LP mais aussi en collège et LGT.
Dans le 06 : rassemblement devant le LP Pasteur à 10h30
• Dans le 83 : rassemblement devant la gare SNCF de Toulon à 9h30

STOPPONS LE PROJET DESTRUCTEUR POUR LES LYCÉES PROS

La réforme de la voie professionnelle annoncée par le président Macron est brutale sur la forme et dangereuse sur le fond. Emmanuel Macron persiste à vouloir imposer aux personnels une réforme calquée sur le modèle de l’apprentissage, particulièrement discriminant, alors même que les lycées professionnels accueillent les élèves les plus fragiles socialement et économiquement. Le président de la République continue de s’inscrire dans une ligne du moins d’École, tout en franchissant une étape supplémentaire, en mettant la formation professionnelle, et de fait les jeunes les plus en difficulté, au service direct des entreprises. Ce projet de réforme est donc celui de la relégation scolaire et sociale de près d’un tiers de la jeunesse de ce pays. Inacceptable.
Des conséquences en collège, lycée général et technologique
Cette réforme va avoir de lourdes conséquences pour les élèves de la voie professionnelle, les professeurs des lycées professionnels, mais elle va aussi produire ses effets en collège et en lycée. Ainsi, l’expérimentation d’un dispositif d’information à l’orientation en 5e est en réalité, sur le fond, un dispositif dangereux pour les élèves et les personnels. Il aura pour conséquence de réduire les ambitions scolaires des élèves les plus fragiles aux seuls besoins économiques du territoire, assignant ces élèves à résidence géographique et sociale. Ce dispositif participe activement à la marchandisation de l’information pour l’orientation et au contournement des Psy-ÉN, déjà bien orchestrés par les Régions.
Cette réforme pourrait aussi fragiliser les BTS. Déjà en 2019, la réforme de la voie professionnelle avait drastiquement réduit le nombre d’heures d’enseignement (particulièrement en disciplines générales). En réduisant encore le nombre d’heures d’enseignement général, comment croire que les bacheliers professionnels seront prêts à réussir en BTS ? Cela revient à leur fermer encore la porte des études supérieures.

lire le communique de presse du SNUEP FSU

Mobilisations et grèves pour l’augmentation des salaires et la défense du droit de grève

Que ce soit dans les raffineries, l’agroalimentaire, les crèches, les transports publics, l’énergie et nucléaire, les organismes sociaux, les banque-assurances, les services informatiques, la maintenance industrielle, l’éducation, la santé, le commerce, la métallurgie… les salarié.e.s de très nombreux secteurs professionnels se mobilisent depuis des mois dans leurs entreprises ou leurs services pour revendiquer et gagner de légitimes augmentations de salaire, de meilleures conditions de travail, des emplois de qualité. Les jeunes se mobilisent aussi, pour leurs conditions de vie et d’études ainsi que pour une réforme des bourses ambitieuse. —> lire la suite

BILAN DE LA GRÉVE DU 29 SEPT

Une première mobilisation réussie qui appelle à des suites
Nos organisations syndicales se félicitent de cette journée de grève et de manifestations du 29 septembre 2022.
Ce sont 250.000 personnes qui ont manifesté partout en France pour obtenir une augmentation de salaire, de bourse, minimas sociaux ou de pension, dont 40.000 personnes à Paris.
Des milliers de personnes qui travaillent, dans les transports, l’éducation, l’agro-alimentaire, l’énergie, la logistique et dans bien d’autres secteurs du privé comme du public étaient en grève
aujourd’hui— > lire la suite en cliquant sur le liencommuniqué intersyndical 30 septembre 2022

 

En grève le 29 septembre !

Pour les salaires et la justice sociale et écologique, luttons !

Les rassemblements du 06 et du 83.

Draguignan 10h30 sous Préfecture
Toulon 10h30 place de la liberté
Nice 10h théâtre de verdure
 

La situation inédite d’augmentation rapide du coût de la vie appelle des mesures d’une toute autre ampleur que celles prises jusqu’à présent par le gouvernement. La loi dite « pouvoir d’achat » votée cet été se contente de poser quelques rustines et, à travers les exonérations de cotisations, ampute le salaire socialisé. Dans la fonction publique, la revalorisation de 3,5% de la valeur du point d’indice est en deçà de l’urgence à relever l’ensemble des rémunérations de 10% au moins pour préserver les conditions de vie de tou-tes les agent-es publics, et un plan pluriannuel de rattrapage des pertes subies. De même pour les retraité-es, les 4% de revalorisation des pensions ne correspondent pas à l’inflation, la dégradation de la situation des retraité-es se poursuit.

Pour la FSU, la situation impose une négociation sur l’ensemble des grilles de rémunération et de carrière intégrant de nécessaires mesures pour permettre en particulier d’atteindre l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes et une indexation du point d’indice sur les prix. C’est un enjeu de société, car il en va de l’attractivité des métiers de la fonction publique, et donc de l’existence de services publics répondant aux besoins de la population sur l’ensemble du territoire, et de la possibilité de vivre dignement de sa pension.

Pour le gouvernement, le partage des richesses n’est pas une option. Pour preuve, il refuse de rétablir l’impôt sur la fortune, il ne met pas en œuvre une taxe sur les superprofits que d’autres pays ont su imposer, il aggrave la logique d’une fiscalité qui assèche les comptes de l’Etat au profit des grandes entreprises et au détriment des services publics (santé, éducation…) et du financement de la transformation écologique.

Par ailleurs, il annonce une nouvelle réforme des retraites qui exige de travailler davantage et qui pourrait conduire à amputer encore davantage le montant des pensions. Il veut également poursuivre la réforme de l’assurance chômage qui va à l’encontre du droit des travailleur-euses d’obtenir des indemnisations chômages justes. De plus, la volonté de durcir les conditions d’obtention du RSA n’aura pour effet que d’affaiblir les conditions d’emploi de toutes et tous. Pour la FSU, l’injustice sociale n’est pas admissible, le partage des richesses est essentiel !

Pour toutes ces raisons, la FSU appelle à participer massivement à la journée de grèves et manifestations du 29 septembre dans le cadre de la journée d’action interprofessionnelle à laquelle appellent aussi la CGT et l’Union syndicale Solidaires.

L

 
 
 
Appel intersyndical fonction publique,

Consultez le lien—> ICI

Mobilisé·es le 4 février pour l’emploi, les salaires et le service public

Consultez le lien—> ICI

 

26 JANVIER: GREVE

MARDI 26 Janvier

• Nice : 10h30 Place Garibaldi

• Toulon : 10h30 Place de la Liberté

• Draguignan : 10h30 Sous préfecture

Sans moyen, pas d’éducation
Le mépris du ministère n’en finit plus «Le projet de loi de finances prévoit une réduction de 1800 emplois d’enseignant du second degré public, compensée par l’équivalent de 1 847 ETP en HSA. Par conséquent, le schéma d’emplois sera sans impact sur les moyens d’enseignement.».(CTM du 16/12/2020). Il n’y a que le ministère pour oser dire qu’on peut remplacer des emplois par des heures supplémentaires! Alors que plus de 43000 élèves supplémentaires sont attendus à la rentrée 2021, 1883 suppressions d’emploi sont prévues. Quasi toutes les académies perdent en postes, notamment certains territoires déjà très en difficulté (Lille, Créteil). Les suppressions d’emplois ont des conséquences particulièrement néfastes en éducation prioritaire avec des augmentations des effectifs classe et une pondération qui ne sert plus à rien puisque les collègues se voient imposer des heures supplémentaires.L’an passé, un rapport du Sénat a montré que 66% des HSA injectées n’avaient pas été utilisées car les enseignants n’en peuvent plus: des cours à préparer en plus, des corrections et des suivis plus importants (nombre d’élèves, conseils de classes, bulletins, RDV avec les parents), les tâches se multiplient aussi dans les établissements…ces HSA dégradent le climat scolaire et sont source de tensions entre collègues, hiérarchie et parfois parents. Pourtant les besoins en recrutements sont importants: dans 10% des établissements il manquait un professeur d’EPS à la rentrée 2020, des remplacements sont non assurés faute de TZR, les classes sont surchargées… D’autre part, dans certaines académies ce sont près de 20% de personnels non titulaires (toutes disciplines confondues) qui assurent les heures d’enseignement. En EPS, plus de 1500 collègues contractuels sont employés.Rappelons également, que le ministère a gardé sous le coude 350 ETP depuis la rentrée 2020, alors que les besoins en académie sont criants.Cette dotation 2021 et les nouvelles dégradations qui en découleront nécessitent une réaction forte. Participer massivement à la journée de mobilisation et de grève du 26 janvier pour exiger un autre budget est primordial. Il faut donner les moyens à l’école d’assurer ses missions!
Le Secrétariat National

RETRAITE: un projet de loi qui confirme la régression sociale !

Avec la publication du projet de loi, nous entrons dans la phase du débat parlementaire. Les mobilisations ont déjà permis une prise de conscience massive sur ce projet rétrograde. La majo-rité de la population (61%) et des organisations syndicales sont pour le retrait du texte. De plus, le Conseil d’État vient de rendre un avis cinglant sur ce projet, qui « vacille » de plus en plus. Le gouvernement s’entête et s’isole. Il fait le choix d’une procédure accélérée à l’Assemblée Nationale et affirme sa volonté de faire passer ce projet en force. Réduire le droit des parlementaires, nier les organisations syndicales et les personnels mobilisés, tout en accentuant la répression, représentent un danger pour notre République. Il faut poursuivre l’action et la campagne d’opinion, notam-ment en rencontrant les parlementaires. Nous vous proposons ci-dessous un décryptage du projet de loi….. lire la suite

Régime Universel = Perdants Universels

MARDI 17/12 PLACE AU RAZ DE MARÉE DANS NOS RUES

NICE : 10h00 Gare Thiers
· TOULON : Rassemblement à 9h30 place de la Liberté puis départ de la manifestation 10h30 Porte Castigneau.
· DRAGUIGNAN : 10h30 devant la sous-préfecture.
· BRIGNOLES : 10h devant le lycée Raynouard

Soyons rassurés Édouard a parlé !!! Il ne voit plus aucune raison pour que nous fassions la grève !!!
C’est vrai c’est surprenant, il n’a rien changé au projet initial mais il ne comprend pas pourquoi il y aurait un raz de marée dans la rue mardi !!!

Balayons quelques idées reçues des éléments de langage actuels

Idée reçue n°1 : Tout le monde gagne sauf peut être les enseignants !!!

.Nul besoin d’être docteur en mathématiques pour démontrer l’absurdité d’une telle affirmation.

   En limitant, par la loi, la part du PIB affectée aux retraites alors qu’on sait que le nombre de retraités va encore croitre, l’équation est simple : il va falloir partager en plus de parts le même gâteau !!!!

Le PRIVE PERDANT : Les deux régimes actuels de retraites des travailleurs du privé seront fondus dans un régime unique beaucoup moins intéressant que leurs régimes actuels.
     – Dans le régime de base, les 25 meilleures années sont prises en compte pour le calcul de la retraite alors que demain, c’est toute la carrière qui sera prise en compte ne permettant plus de lisser les carrières hachées
– Pour les salaires inférieurs à 3337 euros/mois l’assiette des cotisations évolue peu mais pour les salaires supérieurs qui correspondent aux salaires de cadres l’assiette des cotisations diminue drastiquement surtout celle des employeurs (-11%). Peu surprenant que les patrons soient satisfaits de cette réforme, on leur diminue drastiquement le coût du travail pour les cadres et donc les financements des retraites !!!
   – Pour les régimes complémentaires qui correspondent à un système par point les travailleurs du privé ont rapidement compris qu’ils allaient y perdre. Ils passent d’un système géré par les partenaires sociaux permettant d’obtenir un rendement du point entre 6.6 et 10% selon les caisses de retraites complémentaires à un rendement de 5.5 % pour tous (décidé unilatéralement par le gouvernement) et soumis à la décote pour un départ à la retraite avant l’âge pivot de 64 ans pour le moment.
Edouard n’a pas froid aux yeux lorsqu’il annonce un gain pour tous !!!!
Le PUBLIC PERDANT AUSSI :
     – On passe d’une retraite calculée sur la base de 75 % des 6 derniers mois de salaire à une retraite calculée sur la base des points acquis sur l’ensemble de la carrière. La prise en compte des primes ne couvrira pas la baisse des pensions pouvant atteindre 30 à 40 % selon les cas et les profils de carrières.
– On passe d’une décote de 1.25 % par année de cotisation manquante (plafonnée à 6.25%) à une décote de 5% par année manquante par rapport à l’âge pivot de départ en retraite (64 ans). Pour le moment la décote est plafonnée à 10% mais lorsque l’âge pivot augmentera le plafond passera à 15%.
– Les enseignants plus perdants que les autres car ils touchent deux fois moins de primes que les autres fonctionnaires.

Idée reçue n°2 : Des garde-fous sont mis en place pour les carrières hachées, les enfants, les périodes de chômage..

Là non plus, Edouard n’a pas froid aux yeux,

En effet, les temps partiels de droit qui comptent pour une année entière de cotisation ne seront pris en compte qu’à la hauteur du salaire partiel touché. Idem en cas de chômage avec des indemnités forcément inférieures. Dans certains cas très restreints, des arrêts d’activité professionnelles pourront données lieu à l’obtention de points mais seulement sur la base de 60% du SMIC. Les 5% complémentaires donnés dès le premier enfant ne suffisent pas à compenser les pertes. Les femmes seront, une nouvelle fois, les plus touchées.

Idée reçu n°3 : Les profs seront revalorisés progressivement pour compenser les pertes de pensions. (Ah bon Edouard !!!! Je croyais que tout le monde y gagnait

Encore une fois, avec un système simple il est facile de compter. Pour percevoir la même retraite calculée sur une carrière pleine d’enseignant (2600 euros selon M. Delevoye), Il faudrait qu’un enseignant touche 1500 euros bruts mensuel de plus en moyenne sur l’ensemble de sa carrière. (4343 euros en moyenne contre 2850 euros aujourd’hui.)
      Qui peut croire que les enseignants pourront bénéficier d’une telle augmentation. Il faudrait être bien naïf pour imaginer que le gouvernement augmentera le budget de l’Education Nationale des 30 milliards nécessaires.    

     Et puis quels types de rémunérations ??? Primes au mérite ???    

Idée reçue n°4 : Ceux qui sont nés avant 1975 n’ont pas de souci à se faire

C’est intéressant d’entendre une chose pareille quand on sait que le gouvernement s’apprête à mettre en œuvre la plus grande injustice jamais constatée dans le système des retraites.
En effet, les générations d’après 1975 vont cotiser pour payer les pensions des générations avant 1975 tout en sachant qu’ils auront, à terme, 30 ou 40 % de moins de pensions que ceux pour lesquels ils cotisent. Quelle personne sensée peut s’imaginer que ce système sera viable longtemps ???
Face à cet abandon d’un système solidaire et équitable il n’en faudra pas beaucoup pour que les actifs abandonnent le système par répartition (au profit d’un système par capitalisation) dès qu’on leur en fera la proposition. Qui paiera alors les retraites des générations d’avant 1975 ???

Idée reçue n°5 : Les femmes sont prises en compte et sont gagnantes dans le nouveau système…

Là il faut nous expliquer :
– Fin de la prise en compte du temps partiel de droit (garde enfant) comme du temps plein.
– Prise en compte des primes pour compenser les baisses de pensions dans le système par point (les femmes sont celles qui touchent le moins de primes)
– Les femmes sont payées 20 % de moins que les hommes et pourront donc acheter 20% de moins de points…
Tout ça se passe de commentaire !!!

le 10 DEC  pour nos retraites, nos salaires, notre métier… ON REMET CA

Suite à la mobilisation historique du 5 Décembre, le gouvernement n’a pas répondu aux interrogations, colères et à notre demande d’ouverture de négociations pour améliorer le système de retraite actuel pour tous.

C’est pourquoi l’interprofessionnelle avec la FSU appelle à un nouveau temps fort de grève et de manifestations le Mardi 10 Décembre.

Il faut donc continuer et amplifier le rapport de force en se mettant massivement en grève et en rejoignant les manifestations avant les annonces  d’E. Philippe mercredi.

Dans de nombreux établissements et services, des Assemblées Générales ont lieu, les actions se développent : reconduction de la grève, banderoles devant les établissements, opérations tractages, etc….

Rappelons que le projet en cours vise à briser notre système solidaire et affaiblir les pensions pour aller vers un système d’épargne individuelle et ouvrir la voie à la capitalisation.

Le fait que J.P Delevoye ait oublié de révéler à la commission de la haute autorité pour la transparence de la vie publique sa fonction d’administrateur d’un institut de formation pour les assurances est très révélateur.

Une nouvelle réunion de l’Interprofessionnelle aura lieu dès le Mardi 10 Décembre au soir.

Poursuivons l’action collective pour gagner. Toutes et tous en grève et en manifs le 10 Décembre.

Un tract explicatif pour les parents vous est proposé en lien–> ICI.
Il faut gagner la guerre de la communication en informant le plus largement possible.

Faites-nous remonter toutes les initiatives locales, pour les soumettre à tous

le 5 DEC  pour nos retraites, nos salaires, notre métier

 Lire le communiqué de presse

La grève du 5 décembre à l’appel de l’interprofessionnelle contre le projet de réforme des retraites est essentielle pour l’avenir même de notre métier et pour une revalorisation salariale digne de ce nom. S’il est communément admis que nos salaires ne sont pas à la hauteur des missions qui nous sont confiées et que le métier d’enseignant subit un déclassement sans précédent, l’actualité récente (près de 70 suicides depuis 2018) montre avec force la dégradation de nos conditions de travail, la perte de sens dans l’exercice de nos métiers, le ras le bol et la fatigue des enseignants qui subissent réforme sur réforme, injonctions et prescriptions, multiplication des tâches de toutes natures… Le gouvernement, s’agissant des enseignants, est conscient de la perte qu’ils subiraient dans le cadre du projet de réforme (de 300 à 800 euros selon les estimations) et s’engage pour une revalorisation mais celle-ci ne porterait que sur l’indemnitaire ou les primes… Par ailleurs, Le Président, tout comme le Ministre de l’Education, souhaite subordonner une hypothétique revalorisation salariale des enseignants à une nouvelle définition de leur métier, de leur statut, de leur temps de travail, de leurs missions…

On le voit donc, la réforme des retraites sera un moment charnière pour les enseignants et dans notre discipline, l’EPS, nous avons des spécificités à faire valoir et à prendre en compte. Conditions de travail, pénibilité spécifique du métier doivent aussi être au cœur des débats qui s’ouvrent. Personne d’autre que nous ne les mettra sur le devant de la scène.

Alors, le 5 décembre, pour notre avenir, soyons toutes et tous en grève et dans la rue pour porter nos revendications pour l’amélioration de nos salaires, pour défendre nos missions, notre métier et nos retraites !

!
Benoît Hubert
Secrétaire général du SNEP-FSU

Loi Fonction publique : danger grave et imminent !
Mardi 19 mars : aux côtés de l’ensemble des salariés dans le cadre de la journée interprofessionnelle, grèves et manifestations Fonction publique.
Rassemblements :
NICE : 10h gare Thiers
TOULON : 10h place de la Liberté

mercredi 27 mars : journée d’action Fonction publique à l’occasion du passage du projet de loi en conseil des ministres.

FONCTION PUBLIQUE, structuration et transformation–> LIRE
 transformation de la fonction publique: EXPOSE DES MOTIFS–> lire

Le projet de loi « transformation de la Fonction publique » qui a été présentée aux organisations syndicales n’est ni plus ni moins qu’un projet de destruction du statut d’une brutalité inouïe. Ce sont les équilibres du statut de 1946, réaffirmés par les lois de 1982 à 1984, qui sont piétinés, et avec eux la conception d’un fonctionnaire citoyen au service de l’intérêt général opposée à celle d’un fonctionnaire « aux ordres ». C’est tout le modèle social français et la garantie de neutralité des agents publics qui sont dans le viseur du gouvernement….. lire la suite

Jeudi 24 janvier : Grève unitaire dans le second degré

À l’appel d’une large intersyndicale des personnels (SNES-FSU, SNEP-FSU, SNUEP-FSU, SNETAP-FSU, CGT, SUD, SNCL, SIES) et des lycéens (UNL, FIDL)

Salaires, conditions de travail, rentrée 2019 :
Stop au mépris !

Rassemblements

à NICE : 10h30 Place Garibaldi

à TOULON : 10h30 devant l’IA 83

DÉFENSE DE LA FONCTION PUBLIQUE LE 09/10

Nos organisations s’inscrivent dans la journée interprofessionnelle d’action du 9 octobre.
Avec les salarié·e·s du privé, les chômeurs-chomeuses, les étudiant·e·s et les lycéen·ne·s, cette mobilisation sera l’occasion de dire une nouvelle fois notre refus des politiques libérales qui maltraitent les plus démuni·e·s et octroient toujours davantage aux plus fortuné·e·s. Depuis plus d’un an, le président de la République, le Premier ministre et le gouvernement accumulent les mesures régressives et mettent en oeuvre une politique d’austérité pour le plus grand nombre, satisfaisant ainsi les voeux d’une minorité tournée vers une société de profit qui considère le service public comme une charge financière inutile.
Après les attaques frontales contre le Code du travail, les prestations sociales, les retraité·e·s, la SNCF et les cheminot·e·s, les projets en matière d’assurance chômage et de retraite laissent craindre le pire.
Dans ce contexte général, la Fonction publique et ses agent·e·s sont, malheureusement, placé·e·s aux premières loges de cette frénésie libérale. Gel prolongé de la valeur du point d’indice, rétablissement du jour de carence, suppressions d’emplois, mobilité forcée, abandon des missions, privatisations… la liste des reculs serait trop longue à énumérer. ..lire la suite

Éducation nationale : grève le 12 novembre

2 650 suppression de postes !!!

C’est avec consternation et incompréhension que les organisations syndicales FSU, UNSA-Education, SGEN-CFDT ont découvert les annonces budgétaires pour l’année 2019 enterrant de fait la priorité à l’Éducation nationale.
Avec 2650 postes d’enseignant-es et 400 de personnels administratifs supprimés, c’est une nouvelle dégradation des conditions d’études des élèves et de travail des personnels qui est programmée.
Cela n’est pas compatible avec l’ambition d’un enseignement de qualité et d’une plus grande égalité de réussite, ni d’une bonne administration du système éducatif.
Les organisations FSU, UNSA-Education, SGEN-CFDT dénoncent ces suppressions d’emplois dans un contexte d’augmentation démographique. La « priorité au primaire » ne peut pas se faire par un redéploiement de moyens.
Elles demandent au gouvernement de renoncer à ce projet.
Les organisations FSU, UNSA-Education, SGEN-CFDT appellent les personnels de l’Éducation nationale à une journée de grève le 12 novembre prochain.
Elles appellent toutes les organisations syndicales de l’Éducation nationale à rejoindre cette action.

Les Lilas, 25 septembre 2018.

« TOUS EN GREVE LE  22 MARS »

–  dans le Var

 

Parce que les Services Publics sont garants de l’intérêt général au service de la cohésion sociale, les Organisations syndicales CGT, FO, FSU, SOLIDAIRES, CFE-CGC, CFTC font le constat que leurs positions et leurs revendications ne sont toujours pas entendues.
Aussi, elles appellent à une journée nationale de grèves et de manifestations le JEUDI 22 MARS 2018
2 manifestations dans le Var :

10 H 00, Place de la Liberté à TOULON.
10 H 30, Sous-Préfecture à DRAGUIGNAN.

– dans les AM

 

 

Dégradation des salaires, explosion du statut, suppressions de postes : tous en grève le 22 mars !

En savoir plus

Rendez-vous 10 h Place Massena à Nice

 

Fonction publique : mobilisé.e.s
le mardi 10 octobre

  • A TOULON – 10H – PLACE DE LA LIBERTE
  • A DRAGUIGNAN – 10H30 – DEVANT LA SOUS PREFECTURE
  • A NICE – 10H – PLACE MASSENA

Depuis l’arrivée du nouveau gouvernement, les mesures négatives s’accumulent pour les agent.e.s de la Fonction publique : gel de la valeur du point indice, rétablissement de la journée de carence, perspective de 120 000 suppressions d’emplois sur les 3 versants de la Fonction publique.. lire la suite

 

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